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30/3/2018 Commentaires

Galette végétalienne à la patate douce

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Auteur : Yohan Lavoie
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Faire une collation santé sans ajouter trop de sucre et de matière grasse peut être tout un défi lorsqu’il est temps de faire de bonnes galettes moelleuses. La solution : remplacer les sucres et les gras par des purées de fruits, de légumes « sucrés » ou de légumineuses. J’ai développé cette recette suite à de nombreux cas d’intolérances et d’allergies. Les enfants en raffolent. Elles sont d’une tendreté incroyable due à la purée de patates douces. Elles se congèlent très bien pour la boite à lunch des petits et des grands.

Nombre de portions : 12 grosses galettes ou 18 formats enfants

Ingrédients :
  • 2 grosses patates douces
  • ¼ de tasse de cassonade
  • ¼ de tasse d’huile
  • ¼ de tasse de canneberges séchées
  • 2 tasses de farine de blé entier
  • 1 c. à thé de poudre à pâte
  • 1 c. à thé de bicarbonate de soude
  • 1 c. à thé de cannelle
  • ½ c. à thé de muscade
  • ½ c. à thé de clou de girofle

Préparation :
  1. Éplucher les patates douces et les faire bouillir dans un chaudron avec de l’eau.
  2. Une fois les patates bien cuites, égoutter et les mettre au robot mélangeur.
  3. Incorporer les autres ingrédients et bien mélanger de 2 à 3 minutes.
  4. Sur une plaque à biscuits, recouverte d’un papier parchemin, façonner de petites boules, les déposer sur la plaque et aplatir légèrement avec la paume de la main.
  5. Faire cuire au four à 350 degrés Fahrenheit durant environ 10 minutes ou jusqu’à ce que la galette commence à dorer légèrement.

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28/3/2018 Commentaires

Pourquoi pas moi? (La suite)

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Auteur : Duc Legrand
Voilà ! La décision est prise, je serai une maman. J’aurai un bébé. Toute seule. Je vous avais parlé de mon cheminement précédemment. Aujourd’hui, j’ai envie de vous confier les étapes du processus.

Première étape, plutôt simple vous me direz, en parler à mon médecin. Dans toute sa simplicité, ce premier pas était bien plus grand, bien plus représentatif qu’on ne peut se l’imaginer. J’ouvrais la porte, enfin, à mon projet de vie. La réaction de mon médecin a été celle d’un père heureux pour sa fille. Une vraie belle et bonne tape dans le dos. Autrement dit : «Fonce ! Je t’appuie dans ta décision et ce, en connaissance de cause». Encouragements, explications, aucun jugement. Il m’a référé en gynécologie, à l’hôpital de Gaspé.

Deuxième étape, discuter de mon désir d’avoir un enfant avec la gynécologue. C’est à ce moment précis que déboulent les tests, les examens et les prises de sang. Réserve ovarienne. Prises de sang. Examen des trompes. Est-ce que mon corps est aussi prêt que mon esprit ? Heureusement, la réponse aura été «oui».

Troisième étape, je rencontre une travailleuse sociale et l’infirmière de la clinique de fertilité. On discute longuement de ma vision du projet, les raisons qui me poussent à aller de l’avant. On m’explique aussi mes droits, ceux du donneur et ceux de mon futur enfant.

Quatrième étape, choisir le donneur. J’aimerais bien vous dire que c’est un processus incroyablement long et pointilleux, où la magie opère…

On est en 2018.

Alors, oui. Je cherche mon donneur, un peu comme on cherche une maison. Moteur de recherche. Critères de sélection. Couleurs des yeux. Grandeur approximative. Groupe sanguin. Couleur des cheveux.

Ah! Si c’était si simple, trouver un partenaire parfait !

Malgré que mes premières recherches m’ont fait tout drôle, j’y ai mis beaucoup d’amour et surtout, de mes rêves. En cochant les critères, j’avais l’impression qu’une partie de ma nouvelle vie se dessinait. Je m’amuse à l’imaginer. Ses traits se dessinent dans ma tête.

Je regarde les gabarits des gens dans ma famille, pour que mon enfant me ressemble à moi, à ma famille. Puisque j’ai accès à la photo du donneur lorsqu’il était bébé, je me surprends à retrouver en certains hommes, des traits familiaux, des airs de famille.

Et puis, en cherchant, en parcourant les différents sites, j’ai trouvé le bon. Dans sa fiche, on le compare à un sportif plus ou moins connu. Je peux vous jurer que je le connais par cœur. J’ai regardé tout ce que Google Images avait à m’offrir. Oui, je connais la description par cœur. Oui, je connais le numéro du donneur par cœur.

Savez-vous qu’il en coûte environ 900$ pour recevoir un premier don de sperme ? Un don. Une chance. On espère un peu (beaucoup) que la première fois soit la bonne. C’est pourquoi on attend la fin du cycle menstruel. On s’assure que je suis en période d’ovulation. Dès que c’est positif…Go ! Je pars pour la clinique. J’espère de tout mon cœur.

Couché sur le lit un peu trop froid, dans une salle un peu trop blanche, je pense au visage du sportif. Je m’imagine une petite bouille blondinette, qui me ressemble un peu, je l’espère. Un petit humain que j’aurai espéré, porté, aimé. Un bonheur que je m’offre pour la vie.

Et là j’attends. J’attends de voir si mon souhait le plus cher était prêt à s’accrocher à moi. Si ça ne fonctionne pas. Ce sera la prochaine fois. Je ne baisserai pas les bras. Je ne baisserai plus les bras, car ma décision est prise depuis quelques mois. Je serai une maman. Je serai pour toi, un phare, une source de confiance, un réconfort… une maman. Un parent.

D’ici là, cher futur homme de ma vie. Tu seras le bienvenu dans ma petite famille. Si tu acceptes de te joindre à nous, dans nos quotidiens un peu fous, tu viendras t’emmêler dans nos histoires, nos petits bonheurs comme nos malheurs. On formera, peut-être, la petite famille dont j’ai toujours rêvé.
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28/3/2018 Commentaires

Chronique de la fille qui fait tes ongles : L'amoureuse

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Je suis encore amoureuse... 
De tes yeux; ceux dans lesquels je me suis perdue si souvent. Où j’y voyais notre avenir.
Je suis encore amoureuse... 
De ton sourire qui m’a fait fondre le cœur si souvent. 
Je suis encore amoureuse...
De ton rire si honnête qui m’a fait, moi-même, fait rire si souvent. 
Je suis encore amoureuse...
De tes bras qui ont bercé nos enfants.
Où je me suis réfugiée si souvent. 
Je suis encore amoureuse...
De ton odeur; celle que je pouvais respirer dans ton cou si souvent. 
Je suis encore amoureuse...
De tes manies, de tes blagues niaiseuses que tu me faisais si souvent. 

Pis y’a l’autre côté. 
Celui où je ne suis plus amoureuse...
Tu es beau.
Tu es fin. 
Tu prends soin de toi. 
Pour les autres... 
Finalement tu es un tout croche. 

J’ai essayé de t’aider.
Qu’à 2 on y arriverait. Comme on y est toujours arrivé. 
J’ai cru que tu changerais. 
Que tu demanderais de l’aide. 
J’y ai cru. 
Je suis encore amoureuse ..
De tes belles paroles. Tu sais comment me rassurer. Et je sais que tu y crois quand tu me parles, mais tu ne tiens pas parole...
Je m’accroche, encore une simple mauvaise passe; on profite de la vie ! 

De toute façon; tout est de ma faute. 
On va changer; non je dois changer. 
On va s’améliorer; non je dois m’améliorer. 

Je ne suis plus amoureuse...
Tu fais ressortir de moi des mauvais côtés. Des bouts de moi vraiment laids. 
T’aimes pas qui je suis devenue. 
Tu ne me reconnais pu. 
Pu d’estime. 
Pu d’espoir. 
Pu de sourire. 
Mais je suis encore amoureuse... 

Ça va demander du courage. 
Mais une partie de moi a encore confiance en toi. 
On va y arriver. 
Une journée à la fois. 
Et pour une fois; essaie de comprendre que c’est toi maintenant qui dois te sauver...
Auteure : Claudine Bégin
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27/3/2018 Commentaires

La méditation au coeur de l'enfance

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Auteure : Anick Caissy
Qu’est-ce que la médiation maman ?
La méditation, ma chérie, c’est REtrouver la douceur dans ton coeur. C’est aussi, calmer le vritti, ce petit hamster qui court vite vite vite dans ta tête. Parfois, il peut t’empêcher de dormir, d’être attentive ou encore d’être calme.

Ma fille de 7 ans a reçu un diagnostic d’hypersensibilité dès son jeune âge. J’ai cherché, lu et enfin trouvé… C’est grâce à la méditation que j’ai trouvé des moyens pour l’aider. La médiation a su lui redonner le calme qu’elle n’arrivait pas à trouver lors des crises.

Mais comment pratiquons-nous la méditation ?

Voilà un exercice simple et ludique à pratiquer autant de fois que vous le voudrez, en famille. La médiation c’est un peu comme un entrainement puisque plus on en fait, meilleur on devient.
 
Exercice : La médiation du Ballon
Temps : 1 minute (mieux vaut court et efficace)
But : REtrouver le Calme et diriger notre attention sur une seule chose.
  1. Positionne toi et place-toi debout, assis ou encore, couché sur le dos.
  2. Pose tes mains sur ton ventre.
  3. Je t’invite maintenant à fermer les yeux complètement ou encore, ils peuvent être mi-clos.
  4. Inspire doucement en 4 temps, en imaginant que ton ventre est un gros ballon qui  se gonfle et à l’expiration en 4 temps, essaie de te concentrer et de sentir ton ventre qui se dégonfle.
  5. Refaire l'exercice pour 6 à 7 inspirations et expirations.
Tu peux aussi  imaginer le ballon de différentes couleurs.
Ouvre tes yeux et fais un petit retour sur tes sensations.
À go ! Méditons !

Est-ce que vous méditez à la maison? Impliquez-vous les enfants et surtout, voyez-vous des résultats positifs?
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26/3/2018 Commentaires

Le jugement maternel

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Auteure : Johannie Boucher
Le statut de maman vient avec de nombreuses choses toutes aussi magnifiques les unes que les autres, mais comporte également son lot de désagréments. Parmi ces derniers, il y en a un, qui entre autres, va droit au cœur, remet continuellement en question notre capacité à jouer notre rôle de mère et nous laisse un goût amer quant à la supposée solidarité maternelle et j’ai nommé... le jugement.
 
Il est pernicieux, blessant, gratuit et surtout, facile. Le jugement résulte de cette incapacité à faire abstraction de sa propre expérience pour tenter de comprendre la réalité de l’autre. Cet autre, c’est cette mère qui a besoin de tout, sauf de tes paroles acérées ou de ton regard lourd de sens qui lui transperce la peau jusqu’à l’âme.
 
Probablement que tu te penses « ben fine » avec ton attitude de fille qui détient la science infuse, mais si je peux me permettre un conseil, l’empathie n’a jamais tué personne. Bonne nouvelle pour toi ! Tu pourras donc mettre à exécution cette résolution que je te recommande fortement et si j’étais médecin je t’en ferais même une prescription.
 
Les situations pouvant justifier de passer en mode jugement sont toutes aussi nombreuses que celles qui siègent en tant que juges en chef à la Cour suprême des mères ! La maison qui s’apparente à une zone de guerre, le petit qui se goinfre de jujubes, celui qui nous offre une crise de bacon digne des Oscars, la petite qui affiche un brushing proche de celui du Roi Lion ou une tenue aussi colorée que son humeur n’en sont que quelques frêles exemples. Avant de rendre ton verdict, il te faudrait entendre la preuve et constater que derrière chaque cas, il existe une histoire que tu ne connais pas. J’aimerais bien te voir aller avec un enfant qui a des besoins spéciaux ou avec une gamine qui refuse catégoriquement tout ce qu’on lui propose et à ça, ajoute des nuits sans sommeil, des coups, la maladie, l’entière responsabilité familiale sur tes épaules, l’angoisse qui te ronge et de la fatigue accumulée tellement que tu pourrais en vendre en gros chez Costco !
 
Il n’y a rien de pire qu’une mère qui en juge une autre. Parce qu’en fait, s’il y a une personne qui se devrait de comprendre la réalité d’une maman, c’est bien une autre mère. Bien que son histoire ne lui soit pas écrite « dans la face », gageons que tu peux lui offrir mieux qu’un commentaire vicieux et blessant ou tes yeux de mégère offensée.
 
Finalement, tu n’as pas besoin de juger cette mère qui se trouve devant toi parce qu’elle a fort probablement déjà passé à travers un processus d’autocritique encore plus sévère que celui auquel tu l’as soumis. Donc là, disons-le franchement, ce que tu viens de faire c’est de frapper sur une femme qui est déjà à terre et qui porte encore les marques de flagellation qu’elle s’est elle-même infligée avant de sortir de la maison.
 
Au fond de toi, tu le sais que la culpabilité est un point que partagent de très nombreuses mères. Cette femme que tu juges, elle est probablement déjà convaincue de ne pas en faire assez. De la pression elle s’en met toute seule, comme une grande, sans même que tu n’aies besoin d’intervenir. Tu ne contribues qu’à accroître le sentiment de culpabilité qui l’habite avec ta dictature maternelle.
 
Ces jugements gratuits qui sont le fruit de l’ignorance et quelquefois de la méchanceté, sont malheureusement souvent la porte d’accès aux « grands placotages » étiquetés aux plus petits milieux. Contrairement aux grands centres, vivre dans l’anonymat devient quasi impossible. Heureusement, les Gaspésiens ont cette incroyable capacité de se soutenir plutôt que de se diviser. Je suis même persuadée qu’il y aura toujours une personne pour te sourire, voire même te défendre, toi, la mère que l’on vient de juger. Comme quoi la proximité a aussi ses bons côtés.
 
À celle que l’on juge, je dis qu’il faut revenir à la base et se pencher sérieusement sur le sens que tu veux donner à ton rôle de mère et non celui que les autres désirent lui donner. Je sais que c’est difficile, mais si tu agis en respectant ta propre définition d’une bonne mère et que celle-ci correspond à tes valeurs et tes capacités, tu pourras vivre en paix avec tes choix. Deviens la mère qui te représente et n’incarne pas celle que les autres te dictent. N’est-ce pas là, le plus beau principe que tu puisses enseigner à tes enfants ?
 
Quant à toi la mère supérieure, je vois clair dans ton petit jeu. Tu as beau exhiber ta perfection comme on partage une image mille fois retouchée sur Instagram, tu ne peux malheureusement pas me berner. La mère parfaite n’existe pas. Alors range ton sac de pierres et va les lancer à la mer plutôt qu’à la première mère venue.
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