30/11/2018
S'offrir la GaspésieAuteure : Sarah Servant Avouez que les préoccupations environnementales actuelles contrastent grandement avec la folie du temps des fêtes! Heureusement, MAMA Gaspésie vous donne des solutions toutes prêtes et simples pour faire des choix judicieux cette année. Souvent, les grands magasins offrent en ligne des outils ou des inventaires de cadeaux à offrir Pour elle, Pour lui, À moins de 25$... Cette année, vous aurez un outil en ligne, encore plus génial et cette petite merveille (encore en création) se nomme S’offrir la Gaspésie. L’idée, c’est de faciliter votre magasinage des fêtes local et de vous faire découvrir des produits ou des services gaspésiens uniques. Évidemment, c’est tout un exercice de faire l’inventaire des richesses gaspésiennes. Vous êtes invités à nous écrire pour bonifier nos listes*. Pourquoi s’offrir la Gaspésie ? Acheter local est bénéfique pour tous les Gaspésiens. On entend parfois le commentaire «qu’il n’y a rien en Gaspésie»… Évidemment, si on achète davantage local, on encourage les commerçants du milieu et ils peuvent se risquer d’offrir davantage de produits ou de services plutôt que de penser à réduire leur inventaire ou même fermer boutique! Donc, acheter en Gaspésie, c’est bon pour toutes les entreprises de la région et tous les gaspésiens. Enrichir notre région… qui serait perdant? Pensez-y… acheter dans une grande chaîne ne fait pas autant plaisir qu’acheter chez le commerçant au coin de votre rue! Aussi, côté environnemental, c’est un choix éthique. Acheter local, c’est bien souvent, éviter le suremballage des livraisons et la route parcourue par des produits provenant de l’extérieur. Qu’est-ce que la Gaspésie a à offrir? La Gaspésie déborde de talents à petite et grande échelle. Que ce soit des produits créés par des artistes qui rayonnent partout dans la province ou des découvertes charmantes, notre région a beaucoup à offrir. Outre les produits d’artisanat, la Gaspésie peut s’offrir de façon gustative ou encore sous forme de services (chèque-cadeau à la boulangerie, chez le massothérapeute, etc.). Pour vous présenter des idées cadeaux, nous avons séparé l’outil S’offrir la Gaspésie en trois sections; les produits d’artisans, les cadeaux liés à l’alimentation et finalement, les cadeaux qui offrent du temps de qualité. Des choix judicieux Est-ce que vous avez vu circuler cette image sur les réseaux sociaux? Elle parle beaucoup et vous trouverez, dans S’offrir la Gaspésie, plusieurs idées de cadeaux qui cadrent dans cette vision plus éthique du magasinage des fêtes. Concours Ça, c'est à moi!
D’ici le 24 décembre, MAMA Gaspésie et Ça, c’est à moi! vous proposent un concours qui vous permettra de découvrir ou redécouvrir une artiste de la région, Julie Ruest. Cette maman derrière Ça, c’est à moi! est un bel exemple de produits géniaux et gaspésien. À partir de tissus colorés et actuels, elle crée tabliers, fanions, chapeau de cuisinier et plein d’autres produits. Elle vous offre la chance de gagner un jeu de mémoire original fait de bois et de tissu! Vous pouvez même personnaliser ce jeu en y intégrant des photos de votre famille. Bonne chance à tous! Le concours sera lancé en fin de soirée. De plus, profitez d'un rabais de 10% sur vos achats sur la boutique etsy de Julie, en utilisant le code promotionnel: MAMAGASPESIE Tranche de vie; le service en Gaspésie J'ai grandi dans une famille d'entrepreneurs qui se donnent entièrement pour leur entreprise familiale (Coucou Meubles Servant!). C'est une réalité de la Gaspésie qui fait écho partout dans la région; l'entreprise familiale. Je crois vraiment que le service en région est parfois tout un avantage pour le consommateur. En Gaspésie, on vend à des gens que l'on côtoie ou que l'on connait de près ou de loin. Souvent, le commerçant a autant à cœur votre satisfaction que vous-même. Donc, avant d'aller magasiner en ville, c'est parfois très payant, au final, d'aller zieuter par chez nous! Joyeuses fêtes! DÉTAILS CONCERNANT S’OFFRIR LA GASPÉSIE *Comme c’est la première édition de S’offrir la Gaspésie, voici notre objectif pour cette année : Produits d’artisans : faire l’inventaire de tous les artistes de la région offrant des produits. Produits d’alimentation : présenter des coups de cœur qui s’offrent en cadeaux et faire l’inventaire des produits liés à l’alcool, Services : suggérer des idées de cadeaux et présenter quelques coups de cœur.
30/11/2018
Un noyau en cadeauAuteur : Duc Legrand Je suis une maman « bien divorcée ». Je suis une maman de deux filles de 12 et 8 ans dont les parents ont mieux réussi leur divorce que leur mariage. Je ne suis plus la conjointe de leur papa depuis 7 ans, mais je suis sa meilleure amie depuis presque 15 ans. J’ai partagé avec cet homme le meilleur et le pire. Ensemble nous avons créé la vie, deux fois. J’ai un profond sentiment de gratitude et de respect pour cet être humain si important dans nos vies. Ses parents sont aussi importants pour moi que les miens. Il n’était pas question que le divorce marque la fin de notre histoire.
Je suis la conjointe d’un homme extraordinaire avec qui nous partageons notre vie depuis 5 ans. Tout un package deal: en me choisissant, il a reçu en bonus deux « p’tits chats » comme il les appelle, et la famille « élargie ». En faisant le choix de s’engager avec moi, il a dû accepter le papa, les beaux-parents (ex-beaux-parents »): la totale. Il a dû accepter de trouver sa place dans le noyau et s’adapter au fil du temps. Le noyau que j’ai créé pour mes enfants est dur comme le marbre et dans ce noyau, il y a de la place pour tout le monde. Dans le noyau, il y a une maman, un papa, un beau-papa et autour du noyau, il y a beaucoup de mamies et papys, oncles et tantes, cousins, cousines qui gravitent. Mes enfants vivent chez maman avec beau-papa, dans une grande maison où papa est toujours le bienvenu. Papa fait partie du noyau, il a sa place à la table quand il trouve sa maison trop grande ou quand une petite saucette pour dire bonjour se termine en repas de famille improvisé. Mes enfants fêtent leur anniversaire avec le noyau, déballent les cadeaux de Noël avec le noyau, passent l’Halloween avec le noyau, quand on célèbre, le noyau est là! Mes enfants vivent dans une maison où elles se sentent libres d’aimer tout le monde, en même temps. Pour elles, il est « normal » que papa, papy et beau-papa s’activent ensemble autour du BBQ, et qu’au dodo se succèdent les plus importants hommes de leur vie pour l’histoire du soir et les bisous. Pour mes enfants, c’est beau-papa qui soigne les bobos du corps, et papa qui soigne les bobos du coeur. Avec beau-papa on chante à tue-tête, et avec papa on chuchote des berceuses, lors d’une même veillée. Mes enfants vivent dans une famille ou règne un respect à toute épreuve et/ou chacun prend soin de l’autre. Quand quelqu’un ne va pas bien, on se soutient, on s’entraide. Souvent, les gens me disent qu’ils admirent cette complicité hors du commun. Je réponds que ce n’est pas toujours facile, qu’il faut parfois faire des compromis, que tout le monde met de l’eau dans son vin. Parce que nous avons tous en commun l’ultime but que nos enfants soient heureux, et à défaut d’avoir pu leur offrir une famille traditionnelle, nous leur avons offert une famille unie, une enfance remplie de souvenirs où leurs besoins auront été au coeur de nos priorités communes. Je suis une maman bien divorcée et j’ai offert à mes enfants le plus beau cadeau: un noyau !
29/11/2018
Mon mal de mèreAuteure : Carole-Anne Gaudreault D’aussi longtemps que je me souviens, j’ai toujours voulu des enfants. Je voulais une grande famille avec trois ou quatre minis. Je visualisais les murs de ma maison vibrer avec les rires d’enfants et les petits pieds courant sur le bois franc. Je désirais ardemment tous ces petits riens qui font de vous une famille.
Les circonstances de la vie ont fait que j’ai fait le deuil de la grossesse assez jeune dans la vingtaine. Je savais que, pour moi, tomber enceinte était une possibilité, mais pas l’unique façon de fonder ma famille et je focalisais beaucoup sur notre projet d’adoption. Alors j’ai été prise de cours quand mon test de grossesse s’est avéré positif à la première relation sexuelle non protégée. J’ai, par contre, adoré être enceinte. Voir de semaine en semaine mon ventre s’arrondir. Sentir les coups de mon bébé. Découvrir ma petite à chaque échographie. Écouter son coeur battre aux rendez-vous de suivi. Caresser mon bedon en m’imaginant à quoi elle ressemblera. Dominique Blondeau a écrit « l’acte de naissance est un acte d’amour entre la mère et l’enfant ; une jouissance douloureuse pour l’un et pour l’autre ». Sans le savoir, elle a résumé parfaitement mon entrée dans la maternité. Deux mois après la naissance de ma fille, on m’a diagnostiqué une dépression périnatale avec des éléments de psychose. J’ai été hospitalisé trois semaines d’abord contre mon gré, puis avec mon consentement. Les premiers symptômes sont apparus quelques jours avant la naissance de Simone. J’avais dépassé ma date prévue d’accouchement d’une quinzaine de jours et j’avais l’impression qu’elle n’arriverait jamais. J’étais alors incapable de l’aimer ; je lui en voulais de tout mon être de me confronter à ma peur de l’induction de travail. J’aurais préféré renoncer à elle plutôt que d’affronter ma phobie. J’avais peur de mourir. Au plus profond de ma dépression, j’avais une magnifique fille de 7 semaines en santé qui ne pleurait pratiquement pas et qui nous gratifiait d’une multitude de sourires, mais je ne voulais plus d’elle. Je voulais qu’elle disparaisse, que ma vie reprenne là où je l’avais laissée quand j’ai appris que j’étais enceinte et qu’avec mon amoureux, on ne parle plus d’avoir d’enfants. JAMAIS. Alors âgée de 27 ans, je n’avais jusque là aucun regret, mais à cet instant précis, je regrettais vraiment d’être tombé enceinte. Moi qui avais toujours été contre l’avortement, je me mordais à présent les doigts de ne pas y avoir eu recours. J’avais gâché ma vie avec cet enfant ; j’étais heureuse avant, mais plus maintenant. J’avais l’impression que rien de ce que je pouvais faire ne faisait de moi une mère. Mon corps n’avait jamais voulu accoucher de lui-même. Il ne voulait pas non plus nourrir mon bébé. Mon corps tout entier refusait d’agir en « maman ». Pourquoi me forçais-je alors pour essayer d’en être une? Les bruits de mon enfant me tapaient sur les nerfs, me rendaient agressive. Si je la prenais dans mes bras, c’était à contrecoeur... parce que personne d’autre n’était là pour elle. Je ne me sentais pas non plus attachée à ma fille. Je ne me rappelais pas d’un instant où je l’avais aimée. Dès que j’avais pu la serrer contre moi, je n’avais ressenti que de la fierté. Celle de l’avoir construite. Celle de l’avoir mis au monde. J’avais la conviction inébranlable de la garder en attendant que sa vraie maman vienne la chercher. Je comprenais enfin la mère de mon cousin d’avoir fui sa vie de famille. J’avais sérieusement considéré faire pareil, mais je ne pouvais envisager la vie sans mon amoureux. Il était ma seule attache chez moi. Un soir, alors que mon chum rentrait du travail, je me suis désorganisée. J’ai pris une douche en pleurant et j’ai décidé de fuir chez mes parents. Je me souviens à peine de lui avoir dit que je m’en allais chez moi. Je ne me rappelle pas d’avoir pris le volant, d’avoir fait la route et d’être allée me coucher dans mon lit d’adolescente. La seule image qui me vient en tête quand je repense à ce moment, c’est de m’être endormie tout habillée, les yeux pleins d’eau, les seins douloureux, la culpabilité m’enserrant le coeur. C’est à partir de ce moment que j’ai eu de l’aide. D’abord de ma famille pour prendre soin de ma petite. Puis médicalement quand ils m’ont forcé à consulter. Je suis et serai toujours reconnaissante que mon entourage m’a obligé à le faire alors que la mort m’apparaissait douce et paisible. Avec le recul, je me rends compte que je n’étais plus en contact avec la réalité. J’étais en psychose. Je rejetais mon bébé que j’avais tant désiré. Je me sentais incompétente dans mon rôle de mère à un point tel que je préférais donner ma fille en adoption plutôt que lui imposer une mère si imparfaite. J’avais mal. Plus que je ne peux le décrire. Si j’avais pu m’autodétruire pour alléger un peu ma souffrance, je l’aurais fait sans hésiter. Mais dans ma détresse, j’ai eu la chance d’avoir un entourage à l’écoute qui m’a guidée et soutenue sur le chemin de la guérison. Ils ont compris. Compris que j’avais besoin de temps pour moi. Compris que j’avais besoin de me reconstruire avant de redevenir sa maman. Compris que ça pouvait prendre du temps. 9 mois, plusieurs heures de thérapie et deux changements de médication. C’est ce que ça m’a pris pour me retrouver. Mais j’y suis arrivée. Et je suis fière de dire que j’ai battu la dépression, que je suis heureuse à présent et que j’envisage l’avenir avec douceur et bienveillance. Auteure : Claudine Bégin S’tu moi où l’hiver qui est définitivement arrivé trop vite nous scrap le peu de positif qui restait de l’automne qui est disparu définitivement trop tôt ...
Au fait, quelqu’un peut me dire par où est passé « l’été des indiens » cette année ? On se sent-tu comme un gros de tas de feuilles mortes ... ? Pis on dirait qu’avec la sensation de s’enfoncer dans l’tas de feuilles vient un paquet de mauvaises nouvelles. Non ? On dirait une lignée de truck prêt à décharger un après l’autre ... tu reçois la première ... tu te dis « Come on s’pas si pire ça va ben aller» À la deuxième tu te fais l’même commentaire en ajoutant que t’es fait fort, mais un moment donné quand ça fait 3 pis 4 mauvaises nouvelles que la lignée de truck te décharge dessus tu commences à penser qu’il serait peut-être mieux d’avoir une colonie d’éléphants qui t’écrase la cage thoracique à temps plein t’sé ... Te sens-tu comme moi des fois ... on dirait qu’il y a des périodes où j’me sens comme de la marde. J’te le dis je me sens comme un aimant à matière fécale ... Oufff je l’ai moi le sujet de chronique cette semaine ... faut que j’me sente en confiance avec toi pour me laisser aller de même ! Honnêtement je m’en fou. T’as peut-être mal compris attends je répète ... Genre que je-m’en-fou-totalement ! Sais tu pourquoi je m’en fou autant ? C’est parce que je sais pertinemment que toi aussi tu te sens exactement de la même manière que moi parfois. La différence entre toi et moi ? Peut-être que je me suis levée un matin avec la franche idée de me foutre de ce que « les gens » allaient penser de moi. Bon matin, ma belle Dis-moi, est-ce que tu te sens bien avec ton petit cerveau immature qui te rend siiiiii unique ? Ma réponse a été oui ... alors c’est exactement la raison qui fait qu’aujourd’hui je me permets de te parler d’humeur de « caca » ! Bon je m’éloigne un peu de mon tas de feuilles mortes, de ma lignée de truck pis de ma colonie d’éléphants finalement ... Ce qui est bien au travers de cet éloignement de sujet c’est que pendant que tu m’imaginais en aimant à matière fécale et que tu avais un sourire en coin tu oubliais l’espace de quelques instants ce gros nuage mouillé gris qui t’bloque el cerveau et qui transforme n’importe quel de tes petits problèmes en problèmes immensément astronomiques ... as tu déjà pensé devenir un astronaute? Au final, je ne sais même pas où je vais avec ce texte-là. Ça mène nulle part. Mais j’aime ça moi parfois aller nulle part... J’aime ça m’perdre. Parce que quand j’me perds, j’arrive toujours quelque part où je ne pensais jamais aller. Fack dans l’fond c’est un peu ça être un aimant à matière fécale ... de se mettre à trop réfléchir pour finir par arriver avec des réponses su’a coche, finir par se perdre pour mieux se retrouver ... Finalement je ne suis peut-être pas si maganée que ça dans mon gros nuage mouillé gris...j’suis peut-être juste un peu embrouillée... Fack que toi qui me lis semaine après semaine...je n’ai aucune idée tu es qui, mais je te dis « merci » ... Toutes les semaines, je mets sur papier les idées qui m’passent par la tête et de savoir que tu me lis et que parfois je réussis à te faire du bien; juste pour ça « merci ». Ahh oui pis oublie pas que si jamais ton gros nuage gris mouillé décidait de se pointer; envoie-le chier ! Nos vies sont trop belles pour s’arrêter sur un osti de nuage gris mouillé. Aller; on lâche pas la patate. Garde ton sourire ... Tu l’as perdu ? Ben tabarn** retrouve-le! J’te promets que tu vas te trouver belle ! Bonne semaine !
26/11/2018
BD d'Orbie : Les fesses |
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