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12/4/2020 Commentaires

Ode à nos beaux ados en période de confinement

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Auteure: Anne-Marie Audet, psychoéducatrice
La pandémie et le confinement ne sont certes pas une situation de tout repos pour tout le monde. Tous les jours, j’ai une pensée pour nos héros des services essentiels et je vous dis merci pour votre beau travail. Cependant, ce matin mes pensées se dirigent vers nos ados. Dans la « normalité » de leur développement, un ado bouillonne de liberté et de plaisir partagé avec les amis. Nous les adultes, en temps normal, nous rêvons à des jours calmes où la vie s’arrête l’instant d’une respiration. Malgré que nous sommes tous dans le même bateau, nous pouvons imaginer que le défi n’est pas le même pour tous!

Sur une note plus personnelle, je suis maman de deux adolescents, une fille de 13 ans et un garçon de 15 ans. Donc, des pensées et des réactions différentes reflétaient leur vécu de confinement. De plus, une maman qui travaille sur « fly in, fly out » 2 semaines par mois... Parfois, la vie nous apporte de beaux grands défis comme parent! Les deux semaines qui ont suivi la fermeture des écoles, j’étais en période de « distanciation physique » de mes enfants. J’étais en « fly out ». J’ai dû gérer les différentes réactions de mes beaux ados à distance! Vous savez ce qui m’a le plus aidé à demeurer le plus sereine possible? Je me suis rappelé les étapes du deuil. Oui, oui tu sais la première étape, celle du déni, celle où on refuse de voir la réalité? Mais je me suis aussi rappelé d’une étape dans le développement d’un ado, celle de la pensée magique. L’étape de celui qui se croit invincible. Durant cette période, il m’était impossible de convaincre « ma 13 ans » du danger de la situation et de l’obligation de la distanciation physique avec ses amis.

Ensuite vient la 2e phase du deuil : la colère. Bon ok, j’avoue que l’opposition et la colère peuvent prendre une tangente plus importante durant la période l’adolescence, mais en temps normal je suis un parent chanceux qui n’a pas vraiment à « dealer » avec ce genre de comportement avec mes ados. Donc, j’ai été confronté (à distance, ne l’oublions pas!) à des réactions nouvelles pour moi de la part de mes enfants.

Plus tard viennent les étapes de la résignation et de l’acceptation…Eurêka! Actuellement, je peux dire que je me retrouve dans cette étape et que je suis très fière de mes beaux ados! Je suis également fière de leur façon d’aborder la situation. Ils s’occupent ensemble! Ils apprennent à cuisiner ensemble, ils écoutent des séries ensemble, ils jouent dehors ensemble et parfois ils s’obstinent ensemble!

Comment j’ai passé au travers les deux premières étapes sans m’arracher les cheveux sur la tête? J’ai respiré beaucoup! J’ai aussi utilisé les enseignements que je transmets aux parents par le biais de mon travail. En voici quelques-uns, qui, je l’espère pourra vous guider dans vos interactions avec vos beaux ados.

Reconnaître et valider ses émotions
Nommer à notre adolescent que nous comprenons qu’il est très difficile pour lui de ne pas voir ses amis. Lui nommer que nous aussi lorsque nous étions adolescents, on l’aurait pas trouvé drôle. De lui dire que vous trouvez normal qu’il se sente en colère et qu’il a le droit également d’être en colère. D’accepter qu’il vive une panoplie d’émotions plus difficiles, va nous permettre d’éviter d’entrer dans une escalade de pouvoir. C’est également un moment pour apprendre à notre ado, comment gérer ce débordement d’émotions. Il a le droit d’être en colère, mais il n’a pas le droit de la faire vivre à toute la famille. Donc, nous pouvons lui proposer différentes options. Par exemple, se retirer dans sa chambre, écouter des vidéos ou bien aller dépenser son énergie dehors. À lui de choisir quel sera son meilleur moyen!

Se faire confiance comme parent
Au début dans l’étape du déni, j’ai vécu des ambivalences dans les règles parentales de mon conjoint et moi. J’appelais mon chum en cachette parce que dans ces moments de crise, il faut que l’équipe parentale travaille ensemble! C’est certain qu’en gérant cette situation à distance, je pouvais prendre un moment pour respirer et réfléchir. Pendant, un moment de réflexion, la première phrase qui m’est venue en tête est : Je sais que tu ne peux pas le comprendre aujourd’hui, mais je t’aime assez pour t’interdire de voir tes amis, mon rôle de parent est de te protéger, c’est non, un point c’est tout. Je l’ai fait sans discussion, sans argumentation et surtout j’avais un ton neutre et sans émotion, mais un ton convaincu que je faisais la bonne affaire. C’est la période où je me suis sentie le plus loin de ma vie. Quand tu es loin de tes enfants, la seule chose que tu ne souhaites pas, c’est de raccrocher le téléphone sur un différent. Malgré ce sentiment déchirant, je savais que je faisais la bonne affaire…même le gouvernement approuvait ma démarche!

Profiter des bonnes périodes pour souligner ses efforts
Valorisez ses bons coups et remarquez lorsqu’il s’implique de façon positive dans les activités quotidiennes. Faites-leur faire leurs repas préférés. Impliquez-les dans la planification familiale, donnons-leur un sentiment de contrôle et de liberté en leur demandant leur avis.

Prenez garde à nos interventions teintées de rigidité
Questionnez vos actions ou vos demandes. Demandez-vous : est-ce que c’est si grave que cela ou est-ce que l’impact de son comportement ou sa demande compromet sa sécurité ou son développement? Par exemple, oui c’est grave de le laisser aller faire un party avec des amis, mais non ce n’est pas grave qu’il jase en Facetime avec ses amis jusqu’à 22h ou 23h. Même en temps de pandémie, n’oublions surtout pas, nos beaux ados demeurent avec les mêmes besoins, ils ont besoin d’appartenance, de liberté et de plaisir!

Moment de « à moi de moi »
Chaque jour, je prends un moment pour me faire du bien. Dans mon cas, je pratique le yoga, je fais du vélo (oui oui j’ai traqué le « ski doo » du Nord pour le vélo), je m’évade dans un casse-tête. C’est simple, je prends une heure par jour pour faire ce qui me fait du bien mentalement et physiquement! N’oubliez pas que pour éviter de se laisser submerger par les crises de nos ados, il faut prendre soin de nous!

​Voilà mes quelques trucs qui m’ont aidé à passer au travers les étapes du déni et de la colère pour arriver à l’étape de l’acceptation! Je vous souhaite à tous un peu zénitude à travers cette crise que nous ne serons pas prêt d’oublier!
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16/3/2020 Commentaires

Quel type de parent êtes-vous?

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Auteure: Anne-Marie Audet, psychoéducatrice
Êtes-vous un parent qui veut à tout prix voir le comportement dérangeant de son enfant cesser immédiatement ou bien vous voulez que le comportement de votre enfant s’améliore et finisse par disparaître.  Je suis persuadée que vous vous questionnez à savoir qu'elle est la différence et où je veux en venir! Et bien, la différence se retrouve dans le type d’intervention que vous ferez et les impacts qui en découleront.  Parfois, j’explique aux parents et aux intervenants que la discipline et la gestion des comportements riment avec investissement.  Pensez aux gens qui investissent (argent et temps) dans l’achat d’une maison qu’ils devront rénover, mais l’environnement entourant cette maison est à couper le souffle.  Le courage, la persévérance, l’engagement et le travail laborieux qu’ils consacreront les conduiront à la finalité d’un beau projet : une maison, un petit paradis comme ils en ont rêvé.

La gestion des comportements difficiles chez nos enfants est un investissement de temps, de patience, de persévérance et de beaucoup, beaucoup d’amour!  Les parents ou les intervenants qui optent pour des stratégies d’intervention punitives sont ceux qui recherchent la rapidité dans l’obtention d’un résultat.  Qu’entend-on par des stratégies d’intervention punitives?  Punir vise à faire mal.  Il est certain que je ne vous parle pas de la fessée ou du coup de règle des années 50, mais bien faire mal à l’estime de soi des enfants. Parfois, les parents ou les intervenants sont en manque de moyens quant à différents comportements dérangeants de leurs enfants.  Ils souhaitent que le comportement s’arrête là, tout de suite, c’est alors que l’on sort notre artillerie : les retraits ou pertes de privilèges (parfois déraisonnable), mettre l’enfant de côté, le privé d’amour et de reconnaissance, mettre en évidence ses échecs comportementaux aux yeux de ses pairs, etc.  Je vous assure qu’à court terme son comportement va s’arrêter.  Par contre, selon plusieurs chercheurs, l’impact positif à long terme, concernant ce type d’intervention est presque nul.  Pourquoi? Parce que la punition amène chez l’enfant de la colère, du ressentiment, favorise l’esprit vengeance et compromet le lien affectif avec l’adulte.  Je vous cite quelques exemples classiques qui démontrent bien ces dires :
  • Deux frères qui se disputent continuellement pour tout et pour rien.  Les parents exaspérés ne tolèrent plus ces obstinations, ces cris et parfois les coups bas.  Chaque fois que ces moments se présentent, les parents les envoient dans leur chambre sur-le-champ. Des fois, c’est l'un, quelquefois c’est l’autre.  Malgré les punitions, cela continue et parfois augmente l’intensité des chicanes.
  • Sur la cour de récréation, un enfant au comportement plutôt agité et impulsif se fait punir la plupart du temps.  Lorsqu’il adopte des comportements inadéquats, l’adulte pourrait lui demande de se retirer tout près du mur de l’école.  Est-ce que ce type d’intervention fait disparaître le comportement désagréable chez cet enfant? Oui le temps que dure la récréation. Par contre, qu’a-t-il appris pour éviter de recommencer?
  • Un enfant de 7 ans qui fait des crises de colère devant le refus de ses parents se voit enlever sa bicyclette pour la prochaine semaine. Le comportement va-t-il arrêter sa crise? Possiblement parce qu’il tient beaucoup à sa bicyclette.  Cependant, la crise reprendra de plus belle lors du prochain refus!
  • Un enfant qui éprouve de grandes difficultés d’apprentissage fait le clown dans la classe.  L’enseignant l’envoie réfléchir à l’extérieur de la classe.  Le dérangement que crée cet enfant cesse immédiatement quand il est sorti de classe.  Pour ménager son image, il est fort à parier que son retour en classe risque d’être ardu.
Germain Duclos, psychoéducateur et orthopédagogue, dit : « L’estime de soi est un passeport pour la vie. »  Alors, quand nous savons que la punition hypothèque l’estime de soi des enfants, le risque est grand lorsque nous l’utilisons vis-à-vis les comportements dérangeants.

Laisser les enfants poursuivre leurs comportements perturbateurs aux dépens de tous? Non!   Il est primordial de poser des limites aux enfants, et ce, par l’application de conséquences logiques, éducatives et positives.  Quand nous savons qu’à la base, un enfant est bon et cherche naturellement à faire plaisir à l’adulte qui est significatif pour lui. Ainsi, intervenir avec considération et compassion vaut son pesant d’or.  Par exemple, amener l’enfant à être responsable de ses actions en lui offrant un choix, nommer à l’enfant notre désaccord face à son comportement et l’amener à réfléchir sur les conséquences de ses actions, l’amener à se mettre à la place de l’autre, accepter ses faux pas, lui nommer votre confiance en ses capacités de changement, mettre l’accent sur ses réussites et ses bons comportements, lui faire sentir combien il est important pour vous, lui montrer des comportements de remplacement, etc.  Ce sont toutes des façons de préserver son estime de soi.  Un enfant qui se sent compétent, important et aimé véritablement par les gens qui en prennent soin, est un enfant qui est épanoui et heureux.  Donc, il adoptera la plupart du temps des comportements positifs et respectueux!

Ainsi, êtes-vous un parent qui cherche un résultat rapide et efficace à court terme ou bien vous êtes un parent patient, persévérant et optimiste qui est prêt à accepter les délais pour obtenir des résultats positifs et durables?
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16/2/2020 Commentaires

Ne touche pas à mes amis!

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Auteure: Anne-Marie Audet, psychoéducatrice
Votre adolescent cherche à se distancer de vous et ses amis prennent toute la place?  Cette distanciation demande une certaine adaptation. Vous n'êtes désormais plus seuls à exercer un pouvoir d'influence sur vos enfants; il y a aussi les pairs. Et cette influence peut être aussi bien positive que négative.
 
Son grand besoin de se coller à ses copains provient de son besoin d'appartenance.  Son environnement social devient un milieu d'apprentissage et de développement.  Il apprend et se définit aussi par l'observation de ses pairs.
 
Son besoin d'appartenance
Concrètement, pour répondre à son besoin d'appartenance, l'ado a besoin de:
  • s’identifier à son groupe d'amis;
  • sentir que vous considérez ses pairs;
  • d'avoir son espace personnel;
  • sentir que vous avez confiance en lui;
  • percevoir que vous respectez ses choix;
  • d'être écouté et entendu;
  • s’amuser et de rire avec ses amis.
 
Est-ce que tenir compte de son besoin d'appartenance signifie que l'on doit le laisser tout faire? Non, pas du tout! Son immense besoin d'appartenance n'enlève en rien son besoin de sécurité.  L'adolescence a également besoin de sentir qu'il y a présence de limites non franchissables. L'idée est de trouver le juste milieu.  Je vous suggère d'établir des règles et des conséquences claires et négociées avec lui. Votre ado tentera sûrement de vous jouer la carte «y’a juste moi qui peux pas ! »  Ainsi, votre enfant a besoin d’apprendre que vos règles sont basées sur vos valeurs et les valeurs peuvent être différentes dans chaque famille.  Ne tombez surtout pas dans cette tentative de manipulation puisque par expérience de maman d’adolescents, la plupart du temps vous n’avez pas des valeurs si différentes de la plupart des autres parents!!!
 
S'intéresser à ses amis
L’entrée au secondaire amène votre enfant à rencontrer de nouvelles personnes.  Discutez avec lui de ses nouveaux amis, vous démontrez ainsi que vous accordez de l'importance à ceux-ci.  Aussi, invitez ses pairs à la maison ou bien lors d'une activité spéciale, permettez à votre ado d'inviter un camarade que vous connaissez moins.  Cela vous permettra de demeurer à l'affût de ses fréquentations.   S'il refuse de vous présenter ou hésite à vous parler d'un ami en particulier, cela peut vous sonner une cloche. 
 
Interdire à votre enfant de fréquenter un copain en particulier, le poussera possiblement à vous mentir ou à s'éloigner davantage de vous pour se tourner vers cet ami.  Établissez une discussion franche et ouverte avec votre enfant.  Demandez-lui, ce qui l'intéresse chez cette personne.  Amenez-le à réfléchir sur les raisons de vos inquiétudes.  Priorisez l'écoute et considérez son point de vue au lieu d'adopter une attitude teintée de jugement.
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8/12/2019 Commentaires

8 stratégies pour des fêtes sans crise

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Auteure: Anne-Marie Audet
La période des fêtes, une période tant attendue pour nos enfants!  Comment faire pour que cette période demeure agréable et amusante pour nos petites frimousses qui demandent plus notre attention.  Je vous parle des enfants plus fragiles aux changements.  Vous avez ceux qui deviennent insécures ou ceux qui se transforment en tornade! 
Le temps des réjouissances est synonyme de regroupement familial, d’activités spéciales et l’attente incontournable de découvrir ce que l’ami Père-Noël et ses lutins ont préparé pour les enfants.  N’oublions pas que même les évènements heureux nous font vivre un certain stress à nous et chez nos enfants également. Par ailleurs, la période des fêtes précède souvent un gros automne chargé : rentrée scolaire, la fête de l’Halloween, un manque de lumière et pour clore le tout quelques heures supplémentaires au travail! 
​
Les enfants ayant des besoins particuliers ou au tempérament plus difficile peuvent réagir fortement lorsque l’on amène un changement dans leurs habitudes.  Alors, ils vont exprimer ce stress ou cette contrariété par des comportements dérangeants et parfois déroutants pour les parents.  Il suffit de mettre en place quelques stratégies pour permettre à toute la famille de passer un agréable temps des fêtes. 
  1. Si possible, gardez les premiers jours avant le réveillon pour prendre cela relaxe, faire des siestes, coucher les enfants tôt, aller jouer dehors ou bien faire une journée pyjama;
  2. À l’aide de pictogramme, situer les enfants dans le temps concernant les sorties ou activités à venir, expliquer à l’enfant le déroulement des activités;
  3. Avant les évènements plus propices aux changements de comportement, donner à l’enfant différents trucs qu’il peut utiliser selon les difficultés rencontrées : se retirer de la situation lorsqu’il est fâché, venir chercher votre aide, lui trouver un petit endroit tranquille s’il a besoin d’être seul, nommer comment il se sent au lieu de frapper, etc.
  4. Être disponible pour l’enfant : l’accueillir dans ses émotions, valoriser ses bons comportements, lui exprimer votre confiance en lui;
  5. Éviter les interventions chargées d’émotions négatives, lui permettre de se reprendre, donnez-lui des solutions de rechange et surtout éviter les menaces et les conséquences démesurées;
  6. Lors des sorties, apportez des objets sécurisant pour l’enfant : sa doudou préférée, son livre préféré, un jeu qu’il peut utiliser seul pour retrouver son calme (casse-tête, cahier à colorier)
  7. Soyez proactif : si vous sentez que votre enfant est fragile, proposez-lui de prendre un petit temps avec vous à l’écart des autres et changer lui les idées.  Parfois, 10 minutes suffisent pour éviter la désorganisation (lire un livre, jouer à un jeu calme);
  8. Devant les comportements inacceptables, intervenez discrètement, demandez-lui de cesser le comportement et nommez la conséquence à venir s’il y a non-respect de la demande.
En terminant, prenez soin de vous comme parent.  Permettez-vous de prendre des moments de repos et de bien-être avant les activités à venir. 

Je vous souhaite un excellent temps des fêtes et belle heureuse année!

Anne-Marie Audet, psychoéducatrice
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