Auteur: Duc Legrand Petites cellules disparues, peu de gens connaissent cette histoire que je vais te raconter et encore moins les dessous de celles-ci. On m’a rassurée que ce récit se devait de se terminer ainsi, pour diverses raisons que la logique comprendra. Par contre, un cœur avec un bâillon, ça finit par exploser.
Ma petite fusion non prévue, lorsque j’ai vu le « + » provoqué par un pipi à la va-vite (parce que métro-boulot-dodo oblige, ventre vide ou non), l’univers s’est arrêté de tourner du coup. Des milliers de questions, d’inquiétudes, de peurs sont apparues. Mon corps ne m’appartenait plus et refusait de se faire contrôler. Mon esprit était ailleurs, dans un endroit où je ne me trouvais pas. Petite colocataire furtive, je t’épargne les détails. Mais je peux te dire que faire trois heures de voiture pour aller se faire arracher une partie de soi, c’est loin d’être une partie de plaisir. Tout fut réglé assez rapidement, par chance me diront certains car paraîtrait que tu n’étais rien. Pour ma part, je me demande comment un « rien » peut modifier l’itinéraire de quelqu’un à ce point. Certes, aucune des conditions gagnantes pour considérer ton évolution comme étant possible n’était présente. Ta petite maman pour un temps, mon amour, est dans une période peu glorieuse de sa vie : tout chambranle, tout est flou, tout est lourd. Pardonne-moi d’avoir pris cette décision pour toi, toi qui avais décidé de t’accrocher. Futur bébé qui ne le deviendra jamais, les semaines passent. Tous les jours, je pense à toi. Je me demande à quel point mon ventre aurait rondi, quels maux tu te déciderais à me créer ou comment se passerait nos premiers moments ensemble à apprendre à se connaître. Parfois, je me dis que ce serait peut-être plus facile à vivre si tu n’avais pas des frères et sœurs plus âgés. Tous les parents pourront le dire, plusieurs choses changent ou perdent leur sens en devenant parent. Peut-être qu’une clôture aurait pu s’ériger autour de mon cœur, si je n’avais pas déjà connu le bonheur d’être mère? Petit fruit issu d’amour, ton papa est quelqu’un d’unique et de merveilleux. Il a fait ce qu’il a pu et du mieux qu’il a pu pour m’apaiser. Mais cette histoire n’a concerné, en réalité, que toi et moi. Des secrets se sont enfouis dans mon utérus que seuls nous pouvons comprendre. À jamais, ce sera au fond de moi. Petite-moi ou petit-lui, à chaque début septembre, lorsque les enfants du village et ta fratrie, inconsciente du fantôme que tu es, partiront pour le chemin de l’école, j’aurai une pensée pour toi et pour cet anniversaire qu’il me sera toujours impossible de fêter. Et à cette histoire qui m’aura rendue plus forte. Petite crevette, je t’aime. Ta maman Auteur: Sarah Servant Donc, je poursuis mon histoire de fille motivée à croire en la vie après la mort. Me vient l’idée, en parlant avec des amis de l’expérience d’une amie de mon ami, que ce serait intéressant de parler avec une médium un jour. Je suis tombée par hasard (en était-ce vraiment un?) sur une médium nommée Linda Boivin. Cette femme de Coaticook est aussi conférencière. On peut dire que c’est une experte dans son domaine. D’ailleurs, je vous dis tout de suite que je partage mon expérience avec vous, parce que j’adore lire ce genre de témoignage. Ce n’est aucunement une forme de publicité, j’ai payé cette séance comme tout bon mortel. Donc, j’ai eu la chance d’avoir une rencontre à distance, via vidéo, avec cette femme super occupée! Au début de la rencontre, elle m’a expliqué que la rencontre serait en deux étapes, d’abord une identification de la personne à partir d’une photo. Ensuite, une période de canalisation ou la personne défunte s’adresse directement à moi. Mme Boivin a comparé l’exercice comme un ménage du printemps. On en ressort un peu fatigué, mais ça procure un grand bien ensuite. Alors, me voilà tout ouïe, devant mon cellulaire, à écouter ses explications et à attendre quelque chose. Je n’ai donné aucune information à Mme Boivin. Style incognito. Aucun prénom (sauf le mien) et je n’ai pas posé de questions contenant des inférences ou des éléments de potentielles réponses. Je n’étais pas, non plus, dans mon émotion, dans ma tristesse de ce départ. J’étais dans mon côté analytique. Je voulais tout noter, tout enregistrer pour ensuite, absorber et trier au mieux. D'ailleurs, si Mme Boivin lit ces lignes un jour, je m'excuse d'avoir eu l'air aussi détaché. J'avais besoin d'être le plus objective possible pour arriver à tirer mes conclusions.
Je dois avouer que la période d’identification... m’a scié les deux jambes! Mon père a été décrit de façon juste et très vraie. Outre des qualités qui pourraient être communes à plusieurs papas, Mme Boivin a décrit les circonstances physiques et émotionnelles entourant le départ de mon père avec une précision déconcertante. Quand elle a fait cet inventaire, j’ai eu mal, honnêtement. Car elle a verbalisé les effets physiques de la maladie plutôt rare qui a emporté mon père. Je vous dirais aussi que d'autres membres de ma famille ont été vraiment surpris de ces précisions. Évidemment, je ne ferai pas ici, le résumé des messages que j’ai reçus. Par contre, je peux affirmer ces choses :
Je suis aussi quelqu’un qui a des pressentiments forts et j’ai ressenti une confiance immédiate envers Mme Boivin. Elle était simple, sans artifice, sans détour. J'ai aimé son authenticité en début de rencontre. Aussi, le ménage du printemps dont parlait Mme Boivin, je l’ai ressenti, mais très rapidement. Quand j’ai terminé la conversation, je me suis tout de suite sentie bien. J’ai eu l’impression, que c’était une poussée ultime, qui me permettrait de me sortir de cet éternellement questionnement : Est-ce que mon père est là, de l’autre côté? J’ai eu l’impression, que l’oiseau sortait d’un nid, pour voler comme il en a bien envie dans cette mer de doutes et de questionnements que peut être la vie, la mort. Ah… et savez-vous quoi? Le matin même, je lui ai demandé un signe vraiment précis : une chanson de Céline Dion à mon arrivée dans l’auto, pour aller au travail. (J’assume x1000 mon penchant Céline). Je voulais que l’univers me confirme que je parlerais bien à mon vrai papa dans la rencontre prévue plus tard dans la journée. Quand je suis entrée dans l’auto, j’ai entendu un 5 secondes, de la fin d’une chanson. C’était assez pour avoir le ver d’oreille dans la tête et réaliser, après une longue minute, que c’était la finale de ‘’Les derniers seront les premiers’’ de notre Céline. Un hasard? Un signe? Je vais choisir le signe cette fois-ci. Et j’ai envie de choisir le signe, le message pour les jours qui viendront jusqu’à ce jour fatidique ou j’aurai la réponse ultime à ma question. Mais ce jour peut attendre, car j’ai encore bien des questionnements à éclaircir, mais surtout, des p’tits loups à chérir! Auteure: Sarah Servant Quand j’étais jeune adolescente, j’ai vécu la maladie et le départ de mon jeune papa, pourtant en forme olympique. C’était un papa assez génial, vraiment aimé de tous, qui aimait la vie et sa famille. Évidemment, son départ a laissé un gros trou dans mon petit cœur de petite jeunesse. La peine, pas juste pour moi, a été grande et difficile à avaler. Pour moi, j’étais dans une autre catégorie d’adolescentes. Celles qui savent ce que c’est de vivre quelque chose de grave. Les autres, elles ne comprenaient pas tout à fait la douleur que la vie pouvait nous envoyer, d’un jour à l’autre. Alors, ça m’a toujours un peu (beaucoup) dérangé de voir des gens sceptiques face à l’idée d’une vie après la mort. Mon idée étant qu’ils étaient mal placés pour juger et que si comme moi, ils avaient vécu un deuil, ils aimeraient y croire. Pour moi ce n’était pas de savoir s’il y a quelque chose ou pas après la mort. C’était de savoir, est-ce que ça se peut vraiment que la vie m’enlève quelqu’un et que ça se termine comme cela, rien d’autre? Franchement! J’ai cherché longtemps une réponse rationnelle à ma question. En fait je ne cherchais pas des réponses négatives, mais celles qui sont positives. Gardez votre scepticisme pour vous. Parlez-moi de vos histoires! Dites-moi que vous, vous l’avez eu la preuve ultime! Ce serait mentir de dire que je n’ai eu aucun signe, dans ma propre petite vie, traduisant que mon père veillait sur moi de l’autre côté. J’en ai eu, des très intenses à des petits anodins. Mais, jamais le signe ultime, écrit noir sur blanc. Le signe qui me ferait croire officiellement, sans l’ombre d’un doute, qu’il y a une vie ailleurs. Comme j’ai toujours le cerveau à ‘’on’’, j’ai vieillis et ce dossier a évolué. J’en suis arrivée à une conclusion qui me convenait : et si je croyais en ce que je veux? Que j’y crois ou non, qu’est-ce que ça va changer, au fond? Si y croire me rassure, pourquoi pas? Je n'ai pas besoin de la confirmation des autres autour de moi. Je n'ai pas besoin de ne pas me sentir jugée dans ma croyance par les sceptiques de ce monde. Je n'ai pas besoin de valider autour de moi. Y croire me réconforte. Y croire fait du sens avec ce que j'ai ressenti, ce que j'ai vécu. Imaginez-vous des petites fourmis dans leur nid. Elles travaillent fort et font leur besogne de petites fourmis, avec leurs compétences de fourmis. Elles font ce qu’elles font depuis toujours, avec leur intelligence, avec leur capacité et leurs connaissances de leur monde. Tout à coup, leur nid est détruit. Des fourmis meurent, d’autres s’échappent. Leur monde est à refaire. Les fourmis vivent leur épreuve, mais comprennent-elles que c’est un petit garçon qui a écrabouillé leur nid en jouant avec un ami? Comprennent-elles qu’autour d’elles, à quelques mètres ou kilomètres, des gens discutent de la météo et prépare un anniversaire? Absolument pas! Ce ne sont que des fourmis.
Et si nous étions aussi, en quelque sorte, des petites fourmis? Est-ce qu’il serait possible que notre intelligence, nos compétences, nos capacités ne nous permettent pas de TOUT comprendre, de TOUT saisir l’ampleur de la vie, de ce qui nous entoure? J’admets que la comparaison est un peu boiteuse. Je comprends très bien que les humains sont dotés d’une grande intelligence et que les fourmis ne sont que des insectes… Mais est-ce que la vie se résume à ce que l’on peut voir? Et comment expliquer que nous connaissions, si précisément les phénomènes du quotidien, le système solaire, les bactéries, les molécules et tout le reste, mais que la mort demeure un mystère pour plusieurs. Est-ce qu’on est juste aveuglés par notre deuil et nous nous romançons un phénomène tout à fait simple et physique? Les signes que l’on perçoit ne sont que des hasards? Les manifestations que les gens vivent sont des mauvais tours de notre esprit et de notre subconscient? Évidemment, je n’ai aucune réponse rationnelle pour vous. Mais j’ai eu envie, dernièrement, de rencontrer une médium. Peut-être qu’à travers tout cela, je pourrais enfin avoir mon signe ultime. Quelque chose du genre : «ton père fait dire qu’il y a une vie après la mort et qu’il sait que tu as une brassée de blanc en marche et que ton mot de passe sur Facebook est PAT@TEP!LÉE». Alors, cette semaine, j’ai eu la fameuse rencontre et mon esprit, un peu trop analytique, et en mode «est-ce que je perçois mon signe ou je me fais un peu entourloupé» était allumé, au fond Léon comme l’autre dirait… À suivre, bien évidemment... Auteure : Claudine Bégin ![]() Tu dois te douter « un peu » du sujet de ma chronique cette semaine... Moi là j’avais déjà eu des animaux dans le passé. Certains ont été donnés. Un est mort noyé dans piscine d’la voisine. Des poissons ont été « flushés ». Je me souviens qu’à la maison ma mère avait toujours eu la sale d’job d’accompagner nos toutous vers la mort. Dernièrement elle m’a avoué ne jamais avoir pleuré devant nous. Mais que chaque fois qu’elle avait dû faire euthanasier un de nos compagnons de vie, une partie de son cœur se mettait à saigner. Aujourd’hui mon beau Mô-Rice je te dédie ma chronique. Mon beau crocodile d’amour comme je t’appelais. Sache que tu auras été pour moi mon confident; mon meilleur ami. Jamais tu ne te laissais taponner par « les autres », mais moi par contre tu me laissais te prendre dans mes bras et te serrer fort; mais jamais ben ben longtemps! Tu m’auras été fidèle et loyal en échange d’une partie de mon matelas pour faire dodo la nuit... Avec toi mon Mô j’aurai appris qu’on peut aimer un animal de compagnie jusqu’à ce que ça fasse mal. Quand j’avais de la peine et que je ne me comprenais pu moi-même, tu étais là. Je me couchais dans notre lit collé contre toi jusqu’à ça que ça aille mieux en dedans; que ça desserre un peu, que mes larmes soient complètement sèches. Merci d’avoir été mon confident à 4 pattes. Je savais que tu ne me trahirais jamais. Pis je sais que les gens « normaux » ne comprendront pas, mais ... je le sais que tu comprenais quand je te parlais. Tu avais ce petit quelque chose dans le regard, cette douceur envers moi, un cœur enrobé de poil. Chaque fois que je rentrais à la maison, j’avais droit à cette bouffée d’amour inconditionnelle, j’étais TA préférée, TA maman. Mô-Rice tu n’étais pas parfait. Mais tu m’as offert ton amour et ton amitié. Tu faisais partie de la famille. De ma famille. Parce que tu n’étais pas parfait. Et que pour la sécurité des gens qu’on aime et qui nous entoure j’ai eu la difficile tâche d’effectuer la sale d’job que ma propre mère faisait lorsque c’est moi qui étais enfant. Je dois apprivoiser le deuil, lui que je côtoie depuis tant d’années, et avancer à travers ce gros chagrin. Depuis ton départ, j’ai une boule dans la gorge et j’ai mal quand je respire. Bon voyage mon Mô. Tu as fait ça comme un champion En guerrier. Merci Mô-Rice de m’avoir choisi Merci d’avoir été mon meilleur ami. Auteure : Claudine Bégin On m’a demandé d’écrire au sujet de la petite Rosalie.
Et j’ai refusé. Je pense que tout a été dit/écrit. La seule chose que j’ajouterai c’est qu’en tant que parents nous avons la responsabilité de protéger nos enfants. Point. Tu sens que tu vas péter un plomb ? Va chercher de l’aide. Laisse ton enfant dans sa poussette avec une note écrite dans le hall d’entrée d’un hôpital. Aux pires, viens me le porter; je ne te jugerai pas. Il n’y a rien qui explique. Il n’y a rien qui justifie. Il n’y a rien qui pardonne. Le meurtre d’un enfant. C’est un crime crapuleux; le pire qu’on peut commettre. Je me souviens encore de ce mardi soir. Parmi les histoires de détenues d’Unité 9, j’hésitais si je préférais un chien plein de plis ou un chat pas de poil. Je te confirme d’emblée ne pas avoir été l’élément tranchant de l’histoire, puisque si ça n’avait été que de moi; j’aurais eu un chien plein de plis ET un chat pas de poil. Tu connais la suite... Je me souviens comme si c’était hier de ton arrivée parmi nous. Un 4 décembre au soir où j’avais fait des croquettes de poulet qui n’avaient pas été mangées, puisque moi et tes 2 petits frères attendions; l’impatience avait pris le dessus sur la faim. Tu n’étais même pas rentré dans la maison que je t’arrachais (littéralement) des bras de « ton papa »...c’était clair que tu devenais MON chien. Mô-Rice. Pour moi, depuis ma tendre enfance; l’image de la famille parfaite ne venait pas sans un chien. Un chien à qui on lance une balle. Un chien qui prend plaisir à se faire flatter la bedaine. Un chien à qui on donne des câlins et qui nous les remet à grands coups d’langue dans face. Tu as toujours eu ta place parmi nous, même quand London tirait ta queue et qu’il essayait de tirer tes oreilles. Tu grondais parfois et je te réprimandais en t’expliquant qu’un jour, tu allais l’aimer ton frère parce qu’il allait s’occuper de toi et t’aimer plus que tous les autres toutous. Le temps passe et malheureusement ça ne se passe pas exactement comme je t’avais promis. Pas parce que London continue à te tirer la queue et les oreilles...au contraire, il adorerait nettoyer tes oreilles et brosser ton dos, il adorerait te donner ta portion de nourriture (crois-moi elle serait sans doute plus généreuse que celle que je te donne), il adorerait te donner de l’amour d’enfant à l’état pur...Pas le même genre d’amour que ce fameux 4 décembre au soir lorsque nous nous sommes rencontrés la première fois, mais bon... Ça ne se passe pas exactement comme je t’avais promis Mô, puisque tu n’es pas exactement le genre de chien qui apprécie se faire lancer une balle, se faire flatter la bedaine...et je ne me souviens pas d’avoir eu un coup d’langue en retour d’un de mes becs sur tes gigantesques babines... Tu es plutôt tout le contraire d’un chien familial...imprévisible, impatient, mauvais caractère...(tel maître ; tel chien ?) Je cours les « spécialistes » en comportement canin. Tous s’entendent. Degrés d’agressivité: Considérable à très élevé... Solution ? Euthanasie... Juste d’y penser le cœur me fend dans la poitrine. Même genre de douleur qu’une peine d’amour...souviens-toi...le train qui te rentre dedans. Le deuil... Ben moi Mô-Rice je t’aime. En blague je dis souvent que je t’aime plus que ton papa. En fait, j’essaie de faire passer ça pour une blague ... avec moi tu es si gentil et si patient; tu te laisses faire quand je ramasse tes grosses babines pour te donner un gros bec ! Tu mérites ta grande cour arrière et tous ces moments passés ensemble dans mon local que tu aimes tant. Je vais me laisser encore un peu de temps. Comme avec ton frère London; je ne baisserai pas les bras. Le printemps arrive et je suis certaine qu’il nous apportera que du bon. En attendant de prendre la décision qui va sûrement me fendre le cœur en 2, essaie de prendre sur toi et être patient envers les gens qui veulent te faire des câlins. Je te laisse ta place sous la table quand on mange...parce que même si t’es pas exactement le genre de chien qu’une famille s’attendait d’avoir, tu restes un petit futé et tu réussis à apprécier les petites mains de London qui t’ont tant tiré la queue qui maintenant, te passe ses restants quand on regarde ailleurs... |
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Juillet 2021
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