Auteure: Karine St-Onge Qu’on aime qu’on n’aime pas, l’Halloween amène son lot de fans et de réfractaires. Bon. On repassera sur le statut de maintenir (ou pas) l’Halloween le 31 octobre, selon l’humeur de Dame Nature… Pour ma part, je répondrai à ce statut : « Pock, pock, pock ! » (son d’une poule).
Les enfants de la maisonnée ont leur lot de glucides pour un boutte. Personne en danger d’hypoglycémie. Premiers jours de novembre, on décroche les décorations d’Halloween et les plus intenses sortiront dès lors le sapin et les lumières (Dollorama ne se gêne pas; Noël est arrivé dans leurs allées depuis fin août. J’exagère à peine). Mais, dans toute cette saga : Que fait-on de cette vétuste citrouille qui traine sur le bord de la porte ? Le drame de toute famille (sarcasme). Si vous ne l’avez pas éventrée, tel un extrait de film d’horreur bon marché, pourquoi ne pas l’adopter (fond musical de ‘’Vision mondiale’’ en background) ? Sérieux. Moi, chaque année, je récupère les citrouilles du voisinage pour les transformer, les sauvegarder et, au pire, les composter ! Voici donc quelques idées en vrac, mes ‘’préfs’, et d’autres idées mises en surbrillance dans mes annotations (ceux et celles qui me connaissent savent que je prends des notes, sans arrêt !), que je vous partage donc ici :
Tsé, quand tu dis que le Reader Digest dit avoir recensé 15 puissants bienfaits à ces graines… Faut le croire pour le ‘’wouere’’… ()
Plus de raison. Tu achètes une citrouille. Tu l’adoptes. C’est un contrat entre elle et toi. Besoin d’aide ? Je suis là ? 9-1-1 Citrouille Ou partage-moi tes propres trucs et astuces maison ! #sauvonslescitrouilles Auteur: Dominick Briand Ce texte n’a pas de but autre que de crier haut et fort mon amour d’être le papa de mon fils. Sur un ton léger, voyez comment notre univers est riche en imagination et en complicité. Les moments que nous partageons sont si forts que je ressens l’envie d’en partager une infime partie avec vous. De tous les héros qu’on s’amuse à incarner le temps d’une de nos nombreuses mises en scène improvisées, le plus important de tous, c’est le héros qu’on est l’un pour l’autre. Toi qui viens d’avoir 5 ans le 15 octobre dernier, bonne fête petit Emerick. Papa t’aime sans limites !
Ce sera bientôt l’Halloween. Pour mon fils de 5 ans, il n’y a qu’une option de costume envisageable et rien d’autre. Il veut se costumer en Tuco Benedictio Pacifico Juan Maria Ramirez. Rien de moins. C’est non négociable ! Une mise en contexte est de mise. Parmi mes grandes passions de ‘’gars’’ que je partage avec mon fils, il y a mon amour, et le terme n’est pas trop fort, pour les vieux westerns de Sergio Leone. Mon préféré ? Bien sûr le classique Le bon, la brute et le truand. Film qui est devenu aussi la grande passion de mon fils. Ce n’est pas banal, le film dure 3 heures, et à chaque fois, mon fils le regarde au complet. L’histoire est tellement attrayante pour un enfant de son âge. Voilà le contexte. Il y a 3 personnages principaux, soit, Blondin, le bon, le plus rapide tireur de l’Ouest. Ensuite, Sentenza, la brute, le ‘’méchant’’ du film. Et enfin Tuco Benedictio Pacifico Juan Maria Ramirez, qu’on appelle seulement ‘’Tuco’’ dans le film, lui c’est le truand, l’élément comique du film, le ‘’faux’’ méchant qui ne peut s’empêcher d’avoir bon cœur à l’occasion et qui ne manque pas de démontrer une grande sensibilité à certains moments. Tuco et Blondin ne s’aiment pas du tout, en fait, ils se détestent. Mais comme ils ont un ennemi commun, Sentenza, ils doivent faire une alliance pour accéder à un trésor fabuleux, détenant chacun une information cruciale à l’autre. Ils apprennent donc à se connaître et finissent par devenir de bons amis, même s’ils ont bien du mal à se l’avouer. Ultimement, ils se partagent le butin avant de reprendre respectivement leurs chemins au soleil couchant comme dans un bon vieux Lucky Luke ! Mais je vois déjà certaines personnes crier au scandale ‘’MAIS IL EST FOU CE TYPE DE FAIRE REGARDER UN FILM AUSSI VIOLENT À SON FILS DE 5 ANS’’ …..Et vous avez tout à fait raison. Laissez-moi vous expliquer. Bien sûr dans ce film on tire du flingue et des gens meurent. Mais je lui explique qu’ils font semblant, que c’est pour rire, que ce n’est qu’un film et qu’une fois les caméras coupées, ils se relèvent et rigolent autour d’un bon sandwich et d’un café à la cantine. Pour qu’il comprenne bien que ce ne sont que des personnages, il sait aussi que Blondin, son vrai nom, c’est Clint Eastwood, que Sentenza s’appelle en fait Lee Van Cleef et que son idole Tuco est un grand homme de théâtre, un intellectuel, un érudit, qui nous a quittés récemment à l’âge vénérable de 98 ans, monsieur Eli Wallach. Alors toutes les pièces de la maison peuvent, en un claquement de doigts, devenir un Far West improvisé. Notre salon fait office régulièrement de plateau de cinéma fictif, où des duels épiques, entre moi et mon fils, sont parfois dignes d’un Oscar. Peu importe l’issue, il sait que comme dans son film préféré, à la fin, tout le monde se relève et rigole un bon coup. Bref, je fais ce qui me motive le plus à me lever le matin, aimer mon fils, jouer avec lui, lui transmettre mes passions, mes valeurs, essayer tant bien que mal d’être le meilleur papa possible pour lui. Là pour l’Halloween, il veut se déguiser en Tuco, en fait, il veut plutôt se déguiser en un mélange de Tuco et de Blondin, il aime trop les 2 pour trancher, n’en faire qu’un seul lui demande trop de sacrifices. Et moi, il veut que je sois Sentenza, le pauvre type, le méchant au destin funeste. Ce que je vais faire avec plaisir, avec honneur même. Nous parcourrons les rues dans nos costumes de Cowboy avec fierté, des costumes qu’on confectionnera juste pour lui, pas le petit costume cheap du Jean Coutu là, sans éclat, sans personnalité, avec une étiquette ‘’made in Japan’’ sous le chapeau, non non, mon fils mérite un costume digne d’Hollywood, la course aux accessoires est déjà commencée, les idées sont nombreuses et on s’en promet, il sera, et de loin, le plus beau cowboy dans nos rues ce soir-là !!! Je sais d’avance que les regards complices seront nombreux, que les sourires, qui feront contraste dans sa fausse barbe de 3 jours en maquillage du Dollorama, seront radieux, et que la récolte de bonbons sera bien secondaire en comparaison du plaisir qu’on aura de vivre ces moments ensemble. Et j’ai le sentiment que quand il se verra dans son magnifique costume, il voudra peut-être dormir avec, mon petit rêveur à l’imagination débordante. Ces passions communes nous rapprochent beaucoup. Nous ne faisons qu’un tellement nous sommes complices. Quand il a eu sa passe Flash Mcqueen j’ai embarqué à fond, j’ai fait le tour des boutiques et des petites annonces pour lui dénicher ses autos préférées. Sa passe dinosaure à fait de moi le ténébreux ‘’D’sour-de-bras-aurus’’, ce méchant dinosaure sans pitié qui chatouille les dessous-de-bras. Sa phobie des insectes est devenue une passion quand je lui ai offert une collection d’insectes coulés dans l’époxy, il a pu à sa guise les admirer et mieux les connaître. Là, comme il vient tout juste de commencer à jouer au hockey, j’ai joué du coude pour me faufiler et devenir un de ses coachs, on adore être sur la glace ensemble. En lisant ça on pourrait croire qu’on en fait un enfant gâté, mais il n’en est rien, il le mérite, il est si gentil, c’est un bon garçon, et l’amour qu’on lui porte est mis en priorité sur les bébelles qu’on lui achète. Il le comprend et jamais il n’échangerait le temps qu’on passe avec lui contre une auto Flash McQueen ou un dinosaure en plastique. Alors s’il veut se déguiser en Tuco Benedictio Pacifico Juan Maria Ramirez pour l’Halloween, qu’il en soit ainsi, et à chaque étape de sa vie, ses passions, ses rêves, ses ‘’passes’’, ses intérêts, ses projets, je serai là, avec lui, pour lui ! Bref, la paternité, moi, j’embarque à fond ! Auteure: Cynthia Duguay J'aimerais vous partager une anecdote que j'ai vécue, il y a déjà 10 ans.
Vers 1950, le gouvernement a créé un village appelé Labrieville pour répondre aux besoins de logements des travailleurs d'un projet hydroélectrique. Labrieville est situé sur la Côte-Nord et a été construite spécialement pour les familles des travailleurs de ce gros projet. Alors que ma fille avait seulement 2 ans, nous sommes déménagés dans un duplex qu'on appelle maintenant « les maisons de Labriville ». Il faut comprendre que Labrieville est disparu de la carte depuis 1950, mais que les maisons et les appartements appartenant à ce village ont été rapatriés afin que les gens de Forestville puissent profiter de ces immeubles centenaires qui avaient une valeur sentimentale aux yeux de tous. Nous sommes emménagés, et pendant plus d’un an, rien de s’est produit dans cette maison. Tout a changé lorsque j’ai perdu un enfant à 4 mois de grossesse. En fait, c'est le lendemain matin que tout a commencé. J’ai commencé à me rendre compte qu’il y avait des choses anormales qui se passaient dans la maison. Un matin alors que je passais la balayeuse, les portes de garde-robe se sont mises à s’ouvrir toutes seules. Je croyais que c’était un courant d’air. Je cherchais une explication à ce que je voyais, mais je n’en trouvais pas. Plus les jours avançaient et plus je me rendais compte que les portes de garde-robe à l’étage (les chambres à coucher) étaient toujours ouvertes. Je passais mon temps à les refermer. Sans en faire de cas, je continuais ma petite vie sans trop me poser de questions. Un soir, au retour de mon travail très tard dans la nuit, le père de ma fille qui était resté à la maison avec elle, m’a lancé : Hey, notre maison est hantée! On va se le dire, contrairement à moi, il ne croit en rien de tout ça et c’est un éternel septique. Il m'explique alors... Nous étions les seuls à vivre dans ce duplex. Toute la soirée, il avait entendu des petits pas d’enfants à l’étage. Il m'a dit avoir entendu l'enfant descendre les marches et dire: papa? Papa? Il lui avait alors répondu, croyant que c'était notre fille: Kahyla va te coucher ! Mais le bruit continuait sans cesse. Il était alors monté à l'étage et à sa surprise, notre fille dormait dur comme fer. Elle dormait tellement, qu'elle ronflait! Pendant l'année qui a suivi, Kahyla, notre fille, jouait toujours dans sa garde-robe de chambre en mentionnant qu’elle jouait avec sa petite sœur. Chaque après-midi, après ma sieste lorsque Kahyla était à la garderie, sa chambre était en bordel et sa porte de garde-robe était toujours ouverte. Chaque soir pendant un an, à 22h tapant, l’enfant courait à l’étage et chaque fois que nous allions voir si c’était Kahyla, la petite dormait profondément. J’en suis venu à la conclusion que nous vivions avec un enfant qui appréciait la compagnie de Kahyla, mais je n’aimais pas savoir que cette entité s’imprégnait d’elle, même si je savais qu’elle n’était pas méchante. À un certain moment, nous avons pris la décision de déménager. Le dernier soir, avant de quitter l'appartement rempli de boîte, nous étions vraiment prêts à quitter l'endroit. Je suis revenue du travail à 5h du matin, avec les pieds en feu à force d’avoir beaucoup marché pendant la soirée. Je me rappelle m’être couchée dans le lit à moitié morte de fatigue quand tout à coup, j’entends Kahyla qui se lève avec ses petits pieds et marche jusqu’à mon lit pour venir nous rejoindre. J’ouvre les yeux, je la vois et la prends dans mes bras, mais mes bras sont dans le vide et je me rends compte que ce n’est pas Kahyla. L’enfant disparait et je cours dans la chambre de ma fille et je vois que celle-ci dort vraiment profondément. C’était impossible que ce soit elle qui soit venue me rejoindre. Je ne sais trop pourquoi nous avons vécu ce genre de chose, mais par la suite, nous sommes déménagés et nous n’avons jamais réentendu cette entité dans notre maison et la petite sœur avait totalement disparu pour elle...
12/10/2018
Pourquoi vous devriez décorer?Auteure : Sarah Servant Décorer pour soi J’ai toujours aimé avoir une place bien à moi et l’aménager à ma façon. Quand ma sœur a enfin (je t’aime!) quitté ma chambre en même temps que notre lit superposé, dans ma tête c’était le début d’une grande aventure. Tout doucement, j’ai commencé à respirer le grand… art! Celui qu’est la décoration. Et là, je ne parle pas de bibelots ou de trucs collés à la mode actuelle ou des trucs faussement beaux. Je parle de m’approprier mon espace, me créer un refuge, un lieu qui fait écho à mes goûts et à mes choix. Avant que le terme DIY n’envahisse nos réseaux sociaux, j’étais en mode DIY dès que j’avais du temps libre… Quand je suis partie en appartement, vous n’imaginez même pas tout le mal que je me suis donné! J’ai eu l’impression d’être libre comme l’air dans un espace entièrement à moi. Je vous prive de métaphores un peu trop intenses pour décrire mon sentiment au moment d’acheter notre maison! Je vous partage même le résultat de mon premier appartement. Comme celui-ci était à Québec, en 2007 et que cet immeuble a brûlé, je serais même à l’aise de vous donner l’adresse! J'avais peinturé toutes les armoires... C'est peut-être une bonne chose l'incendie finalement! Décorer pour les autres
Évidemment, quand on s’intéresse à la décoration intérieure et que Pinterest nous borde chaque soir, les fêtes et les saisons deviennent des occasions en or pour se laisser aller les idées! Ce pourquoi, l’une des premières choses que j’ai faite suite à l’achat de ma maison, c’était de la décorer pour Noël (Pas de panique! Nous étions vers la fin novembre!). Mais quand j’investis temps, et parfois argent, dans mes décorations extérieures c’est différent. Il y a, je trouve, quelque chose de grand et de beau dans ce geste. Je décore pour faire sourire les enfants qui passent en autobus tous les matins, pour faire tourner la tête des gens qui marchent sur l’avenue. Je décore pour mettre de la magie, de la beauté et de la frénésie dans la vie de mes voisins et de tous. Et quand plusieurs personnes prennent le temps, elles aussi, d’égayer leur maison, de mettre de la célébration dans l’air, c’est une façon de se tenir la main et de fêter, un peu, tous ensemble, une occasion ou l’arrivée d’une saison. En toute franchise, quand je vois des gens décorer leur maison, notamment pour l’Halloween ou pour Noël, ça me touche. Ça me rappelle que tout le monde ne pense pas qu’à eux. Que tout le monde ne pense pas qu’à leur propre refuge. Ça me rappelle qu’au fond, nous partageons tous un peu le même refuge, que ce soit un quartier, une ville, un pays… Donc, décorez! Que ce soit simple, même pas si joli, vraiment pas original, magnifique, créatif ou vraiment trop tôt, décorez! Les enfants ont encore cette belle naïveté qui m’habite encore et soyez certains qu’ils sourient et qu’ils rêvent un peu devant vos lumières, vos sapins, vos citrouilles ou vos gros personnages gonflables! D’ailleurs, félicitations à la Ville de Sainte-Anne-des-Monts qui organise un concours qui vise à souligner les gens qui prennent un moment pour décorer leur maison. |
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Novembre 2020
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