9/2/2020
En dépression hivernale ? Verdissez votre intérieur et vos assiettes ! Jardiner avec vos ‘’trognons’’ !Auteure: Karine St-Onge Encore de la neige Pour ceux qui font partie de la population atteinte de dépression hivernale, vous entrez maintenant en mode hibernation négative. Météomédia devient votre pire ennemi (avec ses alertes constantes dignes de scénarios apocalyptiques). Solution : Amenez l’été à vous; le vert, le croquant, la fraîcheur d’une salade estivale. Je n’ai jamais été une jardinière compulsive excessive à semer ses tomates, poivrons et fines herbes dès février-mars et envahir sa maison de jeunes plantules à entretenir; je laisse ça aux professionnels (surtout à ceux (les serriculteurs) qui sont pas mal mieux équipés que moi en termes d’installations). Ici donc, je vous propose plutôt quelques trucs hyper simples que je pratique quand j’ai le ‘’Blues de l’hiver’’, question d’apporter du vert dans ma maison sombre de février et un plein de vitamines dans mon assiette ! ![]() Jardiner avec ses trognons !? Trognon (n.m): Ce qui reste d'un fruit, d'un légume, dépouillé de la partie comestible. Source : Le Larousse. Rien de moins. Un légume, c’est vivant ! (je me croirais parler comme Passe-Carreau. Et y’a Fardoche en arrière qui me le confirme). Même arraché de sa terre natale (âme sensible, s’abstenir), nettoyé, mis en sac, transporté en camion et mis dans l’étalage de votre épicerie, il reste encore de la vie, dans ce petit et frêle légume. La première expérience à tenter (et des plus faciles) est de conserver la partie blanche et les racines de vos oignons verts et de simplement les faire tremper dans un peu d’eau que l’on met ensuite près d’une fenêtre. Quelques jours seulement et vous verrez une belle repousse vert tendre prendre forme. Reste plus qu’à les recouper et les intégrer à votre plat préféré (en prenant bien soin de le faire délicatement comme un vrai chef, bien haut. Au-dessus de son assiette, le petit doigt en l’air. Avec un ‘’crounch de poivre’’ pour finir. :P ). Je vous avouerai par contre que cette procédure n’est pas éternelle. Je ne tenterais pas plus qu’une repousse sur le même trognon d’oignon. Par contre, si l’envie vous dit et le temps vous le permet, vous pouvez toujours mettre vos repousses d’oignons verts sur terreau, dans une petite barquette de champignons récupérée (et trouée). Vous m’en donnerez des nouvelles #abaslamultiplicationdupaincestlamuliplicationdesoignonsverts #sansgluten ![]() Le trognon de céleri a aussi son pouvoir de résurrection pas mal fort. Idem aux oignons verts, vous coupez la base du pied de votre céleri (partie qui finit plus souvent qu’autrement au compost) et vous le faites aussi baigner dans un peu d’eau, près d’une fenêtre. Et, abracadabra, le céleri repoussera ! Bon. Pas assez pour vous faire de beaux bâtonnets de crudités pour y tartiner votre fromage préféré (pas de publicité ici) mais assez pour parsemer une soupe d’un peu de fraîcheur ou à intégrer dans une sauce aux tomates. Si vous tentez cette expérience plus tard au printemps, il resterait juste à mettre vos repousses de céleri au jardin et laisser la nature faire le reste ! Récoltez à l’automne. Selon Du Jardin dans ma Vie, la betterave, le bok choy, la carotte, le chou, la laitue romaine, et le poireau sont aussi de bons légumes à reproduire à partir de trognon. ![]() Amateurs de fines herbes ? Plusieurs fines herbes fraiches achetées en épicerie peuvent également profiter d’une seconde vie, mises simplement dans l’eau. La menthe, le basilic, la coriandre en sont quelques exemples. Au lieu de les laisser pourrir, faites-les revivre ! Le Summum : La germination Question d’avoir l’impression d’avoir le pouce vert et d’avoir créé la vie (j’en mets un peu, j’avoue…), la germination (production de micro-pousses tels la luzerne ou le radis, des plus connues) est assez satisfaisante comme technique de ‘’jardinage’’ en pot. Pas besoin d’équipement Hi-Tech : un pot Masson, un petit bout de moustiquaire, une cuillère de graines et Hop ! Magie ! La technique, relativement simple, consiste d’abord à faire tremper ses graines pendant une nuit (pas trop forçant jusqu’à date ?), les rincer par la suite. Bon. Je vais en perdre quelques-uns ici : deux fois par jour, il faut les rincer. Faites-en donc une petite routine méditative avec votre café du matin et avant la vaisselle du soir. On laisse ensuite le pot égoutter en position diagonale (le ‘’rack’’ à vaisselle fait justement très bien le travail), couvert d’un linge (doit être gardé entre l’ombre de la lumière, me dit Marie Carmen). Après quelques jours, une belle touffe généreuse de plantules envahira votre pot. À l’approche des premières vraies petites feuilles, on met notre pot au soleil pour un punch de chlorophylle assuré et il ne reste plus qu’à déguster ! Se conserve au moins une semaine au frigo ! Délicieux dans les sandwichs, pour donner un kick à vos plats de pâtes ou pour pimper une salade ! On peut trouver des graines de germination dans nos magasins d’aliments naturels locaux : L’Armoire à Vrac de Sainte-Anne-des-Monts, Le Marché des saveurs à Gaspé ou chez Vert Pistache à Grande-Rivière… Et probablement à bien d’autres endroits mythiques de notre chère péninsule. Partagez-nous vos ‘’pushers’’ de graines ! :P Pour plus d’informations et conseils, le mapaq est là, il suffit de cliquer ici. Bon jardinage mes apprentis !
18/1/2020
À GO, on ralentit?Auteure: Karine St-Onge 2020 : Une nouvelle décennie qui s’amorce. (Qui l’eût cru ? Mais pourtant, les autos ne volent pas encore !? Sous quel signe devons-nous prévoir cette prochaine décennie ? Seuls vous le saurez. (Ce n’est pas Yoda qui parle cette fois-ci, ni même Jojo Savard (dont je suis ironiquement sur sa page Facebook; ’Highlight’’ sur ses leggins léopard !) – fin de la double parenthèse)). D’autres la voient, cette nouvelle décennie, sobre et obscure, faute de nos aléas et abus, humains que nous sommes… Disons-le : notre planète d’adoption est en déclin, en mode S.O.S.. Et si chacun se tournait sur son propre bien-être au lieu d’uniquement pleurer le mal-être de la planète (sans s’empêcher bien entendu de continuer sa poursuite d’être le plus écoresponsable dans ses petits gestes quotidiens; c’est ce que je tends à faire, un petit geste à la fois.) ? Peut-être que ça amènerait le grain de sel suffisant pour rendre le tout assimilable et durable, qui sait ? Je m’ouvre à vous (avec flash-back cinématographiques encore une fois, sur trame de fond de réalité) : Certains auront achevé cette décennie, les genoux écorchés, le cœur chambranlant, tel William Wallace, cœur vaillant, mais blessé, à la recherche de la vérité, de plus d’équité, de sa réelle raison d’être sur Terre. D’autres l’auront vécu tel Forest Gump, courant après leur vie, sans réfléchir. Avouons-nous-le : nous avons tous vécu, périodiquement, cette phase de remise en question. (Bon. Ça arrive parfois mensuellement (ou malheureusement) chez le genre féminin… On est fait de même ! Soyez indulgents.). C’est bien, non, de remuer la poussière pour mieux faire le ménage ensuite? Mais comment y arriver maintenant ? Plusieurs auteurs, pseudo-psys et autres coachs de vie proposent chacun leur méthode pour atteindre ledit BONHEUR. J’ai pour ma part été charmée par une approche non pas rapide, mais plutôt axée sur une nouvelle tendance, le SLOW living. Tirés du livre ‘’ À GO, on ralenti – 12 mois pour se connecter à l’essentiel'', de Madelaine Arcand et Maxime Morin, deux Québécoises qui ont fondé l’entreprise Rose Buddha, je vous invite à prendre ça SLOW avec quelques trucs qu’elles m’ont transmis, à la lecture de cette véritable bible du bonheur ! Courez (ou marchez) à la librairie la plus près de chez-vous vous procurer ce précieux guide ! TEMPS, Où ES-TU ? Dès les premiers chapitres, les deux auteures nous proposent d’abord faire une autoévaluation de notre temps, agenda chargé; trouver où est tout ce temps perdu ? On peut faire cet exercice en téléchargeant le format de calendrier qu’elles proposent (https://myrosebuddha.com/pages/calendrier) et d’y inscrire toutes nos activités quotidiennes pendant une semaine type (en passant par le petit déjeuner, les moments perdus sur la route et même les périodes de temps devant la télé et tous les écrans !). Ensuite vient le temps de la réflexion :
LE JOUR DE RIEN Tsé la journée où tu te sens extra coupable de rester à la maison, prendre congé du travail, mettre tout le monde dans le pétrin, rester en pyjama, prendre un bain, rester sous les couvertures, faute d’un vilain virus attrapé ? Eh bien, que cela ne tienne! OUT la culpabilité ! Il n’y aura plus de cause virale; cette journée-là sera programmée à ton agenda chaque MOIS !! Un jour de rien c’est : prendre du temps pour soi, n’avoir aucun engagement, aucune corvée ménagère. Pour les parents (qui trouveraient inconcevable d’être juste tranquilles une journée, avec la marmaille harcelante procréée. Mission impossible à moins de se construire un bunker!), les filles de Rose Buddha proposent de se partager le ‘’Jour de rien’’ : chacun le vôtre, chacun votre tour (ou même de faire garder les enfants) ! Je crois rêver ! LE DUMPING CÉRÉBRAL Qui dit ‘’Esprit sain dans un corps sain’’ passe inévitablement par l’acquisition d’un sommeil profond et réparateur. Une bonne période de sommeil permet la régénération des tissus, le renforcement du système immunitaire, entre autres. Dernier truc que je vous relève de ma lecture (les autres vous aurez à les trouver de votre propre lecture ! ) : Le dumping cérébral. Ça ne se mange pas, mais on parle ici plutôt d’une ‘’vidange’’ de vos pensées (pas une vidange du cerveau ! Eark !!). Le truc ici proposé est de se garder à portée de main, sur notre table de chevet, un petit carnet de notes (et un crayon. Essentiel pour l’étape suivante. Tsé, quand on perd ces réflexes manuels, addicts nous sommes aux technologies. Et, pas le droit d’écrire ça sur notre téléphone intelligent ou tablette électronique !! Sacrilège !) et d’y annoter, chaque soir avant de se coucher, toutes nos pensées, tâches à faire demain, soucis, frustrations, moments chouchou de votre journée; mettre tout ça en rafale sur papier, sans flafla et trompette. Juste vider complètement notre tête. Qui essayera ? ATTENTION : RALENTSSEZ ! Ma résolution est prise : Plus de temps pour moi, du temps de qualité, du temps au ralenti... Je termine ici par la dernière citation de mon guide, qui j’espère, vous interpellera : ‘’Ralentissez ! Sinon, vous ne verrez pas le bonheur passer.’’ Auteure: Karine St-Onge Je viens d’un petit village de la Baie-des- Chaleurs : St-Alphonse-de-Caplan. 10km dans les terres à partir de Caplan et on y est. Notre village est modelé sur une grande ‘’côte’’ divisant les gens du village en deux secteurs distincts, séparés en son centre par la cantine du coin (ou le coin des jaseux) : ceux de ‘’par en haut’’ et ceux de ‘’par en bas’’ (sans parler de la tribu du rang 7 et des familles du rang 9… Un autre chapitre d’histoire pourrait s’écrire…). Une communauté bien ficelée et unie malgré sa topographie en pente ! (On l’a montée et descendue cette côte… À pieds, à vélo, sur les ‘’brakes’’, dans la neige, la pluie et même aux petites heures du matin, un peu trop réchauffés pour revenir avec ses clés…) Ma grand-mère venait de ‘’par en bas’’, l’une des dernières maisons du rang 8. Pendant plusieurs années, Noël dans le cœur de Pauline était marqué de tristesse et de mélancolie… Cette fête, pourtant festive pour la plupart des gens, marquait un triste chapitre de sa longue vie : le départ de son ‘’Charley’’ (Charles-Arthur), son amoureux, mari aimant, partenaire de vie, décédé juste avant Noël, un tragique 23 décembre. Une fois le 25 décembre passé et les larmes ravalées, d’aussi loin que je me souvienne, le souper chez Mère St-Onge (c’est comme ça qu’on appelle nos grands-parents dans la Baie : Mère et Père au lieu du traditionnel Grand-mère/Grand-père ou Mamy/papy. On est particuliers de même !) a toujours été empreint de chaleur humaine, d’une ambiance menant au partage, apportant joie et rires aux participants de ce traditionnel souper du dimanche (toujours fixé entre la vague de Noël et du jour de l’an). Chez Pauline, pas besoin de petite laine pour se garder au chaud; la cabane était chauffée au bois (le poêle bourré ben en masse) et à la chaleur du four où y cuisait depuis des heures (le secret d’une cuisson lente) le traditionnel cipaille à la viande (de bois ! secret bien gardé et non-divulgué à ce jour à Denis, le grand bébé qui ne voulait pas manger de cette viande sauvage… Il en mangeait pareil ! :P ). Même si la température dans la pièce se rapprochait du climat des Caraïbes, la pantoufle en phentex restait un must pour couvrir nos jolis pieds, tricotée maison, svp, merci. Après les becs en pincette donnés par l’hôtesse et les salutations et poignées de mains faites à toute l’assemblée, on se ‘’dégrayait’’ de nos manteaux pour en former une énorme pile sur le lit de la chambre du palier (au grand plaisir des enfants qui s’y cachaient toute la soirée !). Suivaient les préparatifs pour le service du repas. Sur la table rouge brillante aux airs rétro se cordaient toutes les petites marinades qui accompagneraient le tant attendu plat principal : petits oignons marinés, cornichons sucrés, olives vertes farcies (pas dans leur pot svp ! Quel sacrilège ça aurait été de les servir dans leur contenant d’origine… Pauline sortait ses belles assiettes en cristal; rien de moins ! Au y’able la vaisselle !). Et il y avait aussi les classiques bâtonnets de céleri avec leurs frisettes (résultat d’une taille digne des plus grands sculpteurs et d’une trempette à l’eau froide : Magie !). Les petits pains frais et bien chauds étaient mis sur la table en dernier. Le premier convive qui en prenait un marquait alors le début du service. En bébé gâtée, j’avais aussi droit à l’aspic aux crevettes, concoctée par fée marraine, Denise (qui en faisait toujours plus pour que je puisse partir avec les restants ! Notre secret bien gardé ;) ). Après le repas, les enfants y trouvaient leur compte en jouant dans les marches ou en sautant sur le divan. Les quelques jouets rassemblés et conservés précieusement dans le garde-robe leur suffisaient. La maison recelait de mille et une cachettes pouvant assouvir leurs plus grandes envies. Les vétérans, eux, s’affrontaient à leur traditionnelle partie de cartes. Ça se terminait toujours en désignant le tricheur de la soirée (et le gagnant par le fait même. Drôle d’adon). Rires partagés. J’ai hérité, il semblerait, des mains de ma grand-mère Pauline: son savoir-faire en cuisine. J’ai aussi hérité à son départ de ses nombreux livres de recettes, tous écrits à la main, héritage précieux de plus de deux générations.. En y feuilletant ces archives, on y découvre un univers de partage: partager aux autres, c’était l’essence même de sa cuisine. Pour elle-même, seule, elle pouvait vivre qu’en mangeant des patates ! Elle adorait les patates ;). Je vous partage donc ici l’une de ses recettes fétiches du temps des fêtes, celle de ses Galettes à la mélasse, servies traditionnellement en ‘’sandwich’’, ou en biscuits collés, avec de la gelée de pommes (faite maison aussi, avec les pommettes du verger). Vous verrez, il n’y a pas de mode de préparation (ni même de quantité de farine exacte !) ou de cuisson. Vive la cuisine instinctive ! En ta mémoire, Mère.
Auteure: Karine St-Onge Qu’on aime qu’on n’aime pas, l’Halloween amène son lot de fans et de réfractaires. Bon. On repassera sur le statut de maintenir (ou pas) l’Halloween le 31 octobre, selon l’humeur de Dame Nature… Pour ma part, je répondrai à ce statut : « Pock, pock, pock ! » (son d’une poule).
Les enfants de la maisonnée ont leur lot de glucides pour un boutte. Personne en danger d’hypoglycémie. Premiers jours de novembre, on décroche les décorations d’Halloween et les plus intenses sortiront dès lors le sapin et les lumières (Dollorama ne se gêne pas; Noël est arrivé dans leurs allées depuis fin août. J’exagère à peine). Mais, dans toute cette saga : Que fait-on de cette vétuste citrouille qui traine sur le bord de la porte ? Le drame de toute famille (sarcasme). Si vous ne l’avez pas éventrée, tel un extrait de film d’horreur bon marché, pourquoi ne pas l’adopter (fond musical de ‘’Vision mondiale’’ en background) ? Sérieux. Moi, chaque année, je récupère les citrouilles du voisinage pour les transformer, les sauvegarder et, au pire, les composter ! Voici donc quelques idées en vrac, mes ‘’préfs’, et d’autres idées mises en surbrillance dans mes annotations (ceux et celles qui me connaissent savent que je prends des notes, sans arrêt !), que je vous partage donc ici :
Tsé, quand tu dis que le Reader Digest dit avoir recensé 15 puissants bienfaits à ces graines… Faut le croire pour le ‘’wouere’’… ()
Plus de raison. Tu achètes une citrouille. Tu l’adoptes. C’est un contrat entre elle et toi. Besoin d’aide ? Je suis là ? 9-1-1 Citrouille Ou partage-moi tes propres trucs et astuces maison ! #sauvonslescitrouilles |
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Novembre 2020
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